Nova Purnama Dewi (060593)
L’amitié comme la sucrerie
Avoir un ami intime a du prix
qu’avoir millier amie qui est égoïstes. Qu’on a fait dans leur intérêt.
Parfois, nous fait épuise et énerver. Mais, voila la rend a bonne valeur.
Dans elle, on trouve beaucoup
d’épreuves. Mais la véritable ami peut le surmonter, même plus. L’amitié ne se noue à la chaîne. Mais, il a besoin de
long procès.
L’amitié est colore par le
varié d’expérience. Le bonheur -la tristesse, la consolateur -la blessure, l’aide- le
refuse. Mais, ce n’est pas volontaire. Un ami ne ment
pas pour cacher ses fautes au contraire il soit sincère.
Le procès d’un ami à un amie intime besoin
de la solidarité, pas quand on a besoin
de l’aide, l’intérêt, et l’amour.
Justement un amie intime va
donner l’agréable sans veuillez.
Je vous donne des questions
que vous devez répondre au cœur.
« Qui va existe à côté de vous quand vous avez
de problème à la famille ou au travail »
D’après moi, il est mon ami intime.
Et de même moi, je sens
l’amitié comme la sucrerie, sucré, adhérent et il me fait
mal aux dents. Comme ca l’amitié. Sucré au bonheur, adhérent ne
peut pas éloigner, mais il y a aussi la triste.
J’ai un ami intime. Elle
s’appelle Jane ORREILLE. Une femme qui très obstiné comme un roc. Je la
connais quand on était au jardin d’enfants. On était ensemble jusqu’au lycéen.
Jane et moi rivalisions en tous aspects surtout en éducation. Bien ca,
Notre amitié et notre
communication ne sont pas interrompues. On passait le weekend en buvant du thé ou bien regardant le
film au théâtre.
On a passée beaucoup d’expérience.
Mais l’un que je rappelais. Quand on a fait un examen pour entrer université. En
ce moment, nous pouvions entrer la même université et même faculté. Malheureusement, entre nous,
seulement Jane qui a été acceptée, moi je n’ai pas. J’étais déçu. Prés de un semestre on ne s’était pas vu. Je choisissais
entrer a l’autre université.
A cause de ce problème, je
sentais esseulée. Sans Jane sans rire. J’étais éteint. J’ai
agi de façon égoïste. En fin,
j’ai décidé lui recentrée pour m’excuser. Heureusement, elle est gentille et
m’excusait. J’ai déploré mon geste.
Sur ce problème, je veux vous
informer :
N’oubliez pas l’homme qui est
méritant, qui vous accepte comme vous, et qui vous aide en bonne volonté.
C’est un homme précieux.. Un ami.